🤩 Bienvenue dans l’univers magique des réseaux sociaux malgaches, où il ne suffit plus d’avoir du talent pour briller. Non, désormais, une pose aguicheuse, un bikini bien ajusté, et hop, te voilà couronnée « influenceuse« . À force de photos à moitié nues et de danses lascives, ces 2 pseudo-starlettes malgaches sont devenues les reines d’une culture du vide. Un contenu ? Quel contenu ? Ici, tout se résume à des fesses bien cadrées et à des regards langoureux. Il paraît que ça fait de toi une icône digitale… et qu’on te qualifie même de « créatrice« . 🤔 Mais créatrice de quoi exactement ? Mystère. 

 

😏 Le règne du vide : Quand montrer ses courbes fait exploser les vues et les likes

Ah, l’art de l’influence ! Ou plutôt, l’art de l’influence vide. Parce qu’en réalité, il n’y a pas grand-chose à dire sur ces 2 « créatrices » qui ne créent rien d’autre que des clichés de leurs courbes. Ça doit être fatiguant, toute cette gymnastique pour trouver le bon angle et la pose parfaite… Mais pour ces 2 jeunes femmes, c’est un vrai business. Leurs comptes explosent en abonnés, non pas parce qu’elles apportent une quelconque valeur ou idée nouvelle, mais parce qu’elles ont compris que la provocation vend. Le talent ? Visiblement, ce mot n’a plus de sens dans ce monde-là. Elles capitalisent sur une seule chose : leur plastique. Et apparemment, c’est suffisant pour faire d’elles des « stars ». Triste époque.

 

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😂 Quand la seule valeur ajoutée se mesure… au lit ?

Si tu pensais que l’histoire s’arrêtait là, tu te trompes. Parce que, derrière ces photos Facebook et ces réels soigneusement édités, il semblerait qu’elles cachent une « carrière parallèle ». Eh oui, la rumeur court : ces 2 pseudo-influenceuses malgaches pratiqueraient aussi le plus vieux métier du monde, mais en version haut de gamme. Ça expliquerait sans doute leur présence dans les lieux les plus luxueux d’Antananarivo et les cadeaux hors de prix. Oui les filles ! On est au courant du gros nounours, de l’iPhone donnés par un karana et de votre petit rendez-vous dans un hôtel ! 😉

Bref ! On ne va pas s’étendre sur le sujet, mais disons simplement que ces « stars » ont un talent… disons… horizontal. Alors, on continue à les suivre pour leurs vidéos de danse suggestive ou on avoue que tout le monde a déjà deviné ce qui se passe en coulisses ?

 

🙂 Les vrais talents sont ailleurs : mode, art et créativité (mais bon, ça n’intéresse personne)

Pendant ce temps-là, les vrais créateurs de contenu – ceux qui ont vraiment quelque chose à dire ou à montrer – galèrent pour se faire un nom. Eh oui, qui aurait cru que partager des compétences en mode, maquillage, cuisine ou art nécessitait plus qu’un selfie en bikini ? Ces talents authentiques sont pourtant les véritables créateurs, ceux qui apportent de la valeur à leur communauté. Mais devine quoi ? Ils sont souvent éclipsés par des vidéos de twerk et des poses en tenues légères. Parce que visiblement, pour attirer l’attention aujourd’hui, il ne faut pas être créatif, juste provocateur.

 

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🤬 La culture du vide, ou quand on confond influence et exhibition

Et voilà, on se retrouve avec une génération d’ « influenceuses » qui n’influencent qu’une seule chose : la montée en flèche de la culture du vide. Le pire ? Elles deviennent des modèles pour toute une génération. Pourtant, derrière les filtres, les couches de make-up et les artifices, il n’y a rien. Du vide. Alors, peut-être qu’il est temps de redonner la place à ceux qui ont vraiment du talent. Parce que franchement, les courbes, ça va un moment, mais un vrai contenu… ça a quand même un peu plus de saveur.

 

A bon entendeur… les pepetis

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niaina

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